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La justice va devoir dire si "casse-toi pov’con" mérite sanction.
L’apostrophe, peu amène, popularisée par Nicolas Sarkozy, sera en effet sur la sellette le 23 octobre 2008 au tribunal de Laval.
Mais ce ne sera pas Nicolas Sarkozy qui sera en cause, mais Hervé Eon, un militant qui entendait, en agitant une affichette portant cette phrase, faire savoir au président de la République qu’il n’était pas le bienvenu, le 28 août dernier, à Laval où il était venu vanter son RSA.
Hervé Eon raconte son aventure sur le site Rue89.com.